Télérama répond à propos de la mairie de Bagnolet

Le texte précédent transmis à la rédaction de Télérama a suscité la réponse suivante :

J'entends votre énervement, et il a sûrement sa légitimité (de contribuable, d'usager, de simple passant...).  

J'avoue que sur cette affaire, je me suis fait un peu piéger : le "chapo" de mon article (les 2 lignes sous le titre) utilise effectivement les termes "iconoclaste et aventureux". Hélas ! Ce n'est pas moi qui l'ai rédigé (dans nos procédure d'édition, c'est le travail du secrétaire de rédaction), mais je l'assume, puisque c'est ma signature qui est en bas. J'aurais effectivement préféré quelque chose comme ce "boursoufflé" que vous utilisez et que j'aime bien. Cependant, dans le corps du texte, si vous m'avez bien lu, vous aurez vu que si je ne partage pas l'ensemble de vos critiques, je pointe néanmoins "de la rue, cet objet chahuté paraît incongru" et, pour finir, "l’impeccable prétention de l’architecte" 

Ceci ne correspond pas pour moi à une adhésion franche et totale...

Luc Le Chatelier

Comments

[zanier.mathon@gmail.com]

Bonjour,
Bravo pour votre réaction à l’article (on va dire discutable) paru dans Télérama sur le nouvel hôtel de ville de Bagnolet. L’auteur de l’article aurait mieux fait de s’informer et de réfléchir un
peu avant d’écrire comme ça lui venait. Sa réponse à votre légitime critique montre sa légèreté : Ah bon ça coûte 40 millions d’euros pour un machin non fonctionnel et moche ? Ah bon, vous préférez
le terme boursouflé à celui d’iconoclaste ?. Ah bon il y a des gens qui y travaillent ? C’est un service public ? Ah bon on va chauffer les courants d’air ? Comme vous voulez …
Pierre Mathon