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Après Nagoya et Cancún, les dirigeants ne pourront plus se cacher derrière la supposée inefficacité des Nations Unies pour justifier leur inaction. Les discours de la dernière nuit de négociation furent une ode au multilatéralisme et à la transparence du processus mexicain. La lutte contre les changements climatiques dépend d’abord de la réalité de la volonté politique des dirigeants.

 

 

Mais attention : le climat n’a pas été sauvé à Cancún ! Les promesses de réduction des émissions sont loin d’être suffisantes pour maintenir le réchauffement de la planète sous la barre des 2°C. Si le train des négociations est à nouveau sur les rails, il accuse un retard dramatique. Si rien ne change, le Sommet de Durban fin 2011 risque d’être un Sommet pour rien.

 

 

 

 

Un an après l’échec de Copenhague, la conférence sur le climat de Cancún a finalement abouti à un accord. Le multilatéralisme et le processus de négociations sous l’égide de l’ONU ont regagné la confiance des pays participants. Désormais, il faut aller vite car la lutte contre les changements climatiques ne peut plus attendre.

« C’est le sentiment de soulagement qui prédomine à Cancún. Après l’échec retentissant de Copenhague, les négociations onusiennes ont prouvé qu’elles pouvaient aboutir à des résultats concrets, notamment sur la protection des forêts, l’aide financière aux pays en développement ou la vérification des promesses.

 

Tag(s) : #Déreglement climatique
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